Le parquet de Paris refuse d’ouvrir une enquête pour « non-commission d’un crime ».
L’enquête préliminaire a été ouverte début décembre dernier pour « agression sexuelle sur personne vulnérable », après un signalement de l’archidiocèse de Paris concernant l’ancien archevêque de la capitale.
publié
temps de lecture :
1 minute

Dans cette affaire, les enquêtes ont été confiées au Bataillon de Répression des Déviances Individuelles (BRDP). La femme mentionnée dans ce rapport est la femme dont le magazine était le point Il s’est exprimé fin 2021, ce qui a provoqué la démission de Michel Aupetit, comme l’a appris France Info de source proche du dossier.
>> L’ancien archevêque de Paris Michel Aupetit visé par une enquête pour agression sexuelle sur personne vulnérable
Reconnaissance d’un comportement « mystérieux ».
à temps, le point Il évoque une possible relation intime entre cette femme et Mgr Aupetit, relation que l’ancien archevêque a démentie. Des faits qui, en l’espèce, ne sont pas soumis au droit pénal.
Monseigneur Aupetit prend alors simplement conscience du comportement « mystérieux ». Or, selon la source proche du dossier contactée par France Info, cette femme serait sous tutelle depuis plusieurs années, sans savoir si c’était réellement le cas en 2012.
« Ce fichier ne devrait jamais exister »
A l’avocat de l’ancien archevêque de Paris, « Ce fichier ne devrait pas exister du tout. » « Monseigneur Aupetit a toujours eu confiance dans les résultats de l’enquête. »que c’est « Grand soulagement de pouvoir enfin clôturer ce dossier » Son avocat, Maître Jan Reinhardt, a répondu à France Info.
« Il a été calme toutes les semaines car il savait qu’il n’y avait rien qui puisse semer la confusion. Il est heureux de pouvoir continuer sa mission pastorale auprès des pauvres auxquels il consacre désormais son temps. Cette condition, qui devrait n’a jamais existé, il se termine là où il aurait dû commencer, c’est-à-dire nulle part.
Maître Jean Reinhardt, avocat de Monseigneur AupetitEn France Infos