Mylène, 33 ans, est atteinte d’un cancer du sein triple négatif

Le cancer du sein triple négatif représente 15 % des cancers du sein. Elle touche des femmes relativement jeunes. Cette dernière n’est pas suivie dans les programmes de dépistage, le risque de ne pas être diagnostiqué est donc plus grand. La surveillance doit être développée. certificat.

Mylène a 33 ans. Elle est mère de deux enfants dont le plus jeune a sept mois. Elle a appris le premier jour de l’année scolaire qu’elle était atteinte d’un cancer triple négatif. Le diagnostic est tombé brutalement après une échographie mammaire. Grâce à ce diagnostic précoce, un traitement peut être instauré et les chances de guérison sont très élevées.

Le cancer du sein triple négatif est mal compris. Cela touche particulièrement les jeunes. 40% des femmes ont moins de quarante ans. Mylène a des antécédents familiaux et son médecin généraliste lui a prescrit une échographie mammaire. Très rare pour son âge. C’est une excellente réponse car avec un diagnostic précoce d’un cancer localisé, les chances de guérison atteignent 80 %.

J’étais si loin d’imaginer que je pourrais être affecté. Mon objectif est de sensibiliser les jeunes femmes, les médecins généralistes et les gynécologues à faire davantage de dépistage, de palpation et de sensibilisation comme cela arrive à beaucoup de jeunes femmes aujourd’hui.

Mylène, 33 ans

Elle souffre d’un cancer du sein triple négatif

Sur la scène locale2 femmes sur 3 seront définitivement guéries d’un cancer triple négatif grâce à la chimiothérapie, l’immunothérapie, la chirurgie et la radiothérapie, mais il existe encore des femmes qui rechutent avec des traitements très lourds. » explique Olivier Tredin, chef du service d’oncologie médicale au Centre Léon Bérard.

Le dépistage automatique est actuellement réalisé à 50 ans. Il est donc nécessaire que les femmes soient vigilantes. Une auto-palpation régulière des seins est fortement recommandée.

Le cancer triple négatif représente 15 % des cas de cancer du sein et est particulièrement agressif. Si des métastases sont présentes, la survie à cinq ans est très faible. C’est le cas de Vanessa Hitt. Après sa guérison, le cancer est réapparu et a touché son cerveau et ses poumons. Aujourd’hui, elle est ambassadrice de la Triple Roses Society. Ce groupe de patients mène une croisade contre la maladie.

Le cœur de notre travail est de fournir des traitements innovants, de nouvelles alternatives thérapeutiques et de financer la recherche dédiée au cancer du sein triple négatif.

Vanessa a frappé

AURA est l’ambassadrice de la triple rose

Contrairement aux cancers hormono-dépendants qui bénéficient de protocoles thérapeutiques très efficaces – les statistiques montrent un taux de réussite de 95 % – les cancers triples négatifs n’ont pas encore la même efficacité thérapeutique. « Nous devons faire entendre notre voix pour qu’il y ait des programmes de recherche dédiés..

C’est une approche qui porte progressivement ses fruits dans le corps médical. C’est ce que confirme Olivier Tredin, chef du service d’oncologie médicale au Centre Léon Bérard. « Nous avons aussi progressé parce que des associations de patients sont venues nous encourager. Leur priorité est clairement le soutien aux maladies, mais aussi l’accès rapide à l’innovation thérapeutique. De nouveaux médicaments arrivent, et grâce à eux, ils arrivent rapidement dans notre routine de soins« .

Le groupe milite également pour le développement d’essais cliniques sur les « triplés » en fin de vie afin de faire progresser la science.

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