
Rennes : l’évacuation des familles du camp de migrants de Gayul se poursuit
par Hugo Murtás
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L’évacuation du camp de migrants Gayole à Rennes Cela ne tardera pas à venir. Alors que la justice a donné trois jours aux immigrés pour évacuer, mardi 12 septembre, après que la ville a demandé sa fermeture, le… Les forces de l’ordre s’en mêlent Dans la matinée du mercredi 13 septembre, « pour proposer à chacun une solution adaptée à sa situation », selon la Préfecture de l’Ile et Vilan.
Depuis le 21 août, le gouverneur de l’Ile et Vilan mobilise les services gouvernementaux de la région pour trouver des solutions pour accueillir les personnes vivant sous des tentes dans le parc Gayol.
le Les familles avaient jusqu’au vendredi 15 septembre Selon la décision du tribunal administratif de Rennes de quitter le bâtiment, mais les autorités attendaient cette date.
Les organisations communes de soutien aux exilés précisent que la protection civile Il était avec la police mercredi matin.
Périmètre de sécurité
Sur place, en début de matinée, un périmètre de sécurité gardé par la police a empêché nos journalistes d’assister à ce processus d’évacuation. Les médias sont appelés « Point Presse ». Prendre des photos est très compliqué.

Contacté par Actualités rennaisesune Utopie 56 membres (La Société Humanitaire, Mobiliser les Citoyens et Défendre les Droits des Exilés et des Personnes Déplacées) présents dans le camp expliquent que Des familles ceux qui ont Droit au logement Il était Reçu par les forces de l’ordreIl a ensuite été dirigé vers un autre lieu inconnu pour le moment.
Nous avons été très surpris par cette intervention, car les familles avaient trois jours (jusqu’à vendredi après-midi) pour partir. Ceux qui n’ont pas droit au logement resteront jusqu’à vendredi après-midi, tandis que d’autres qui ont droit au logement partiront à partir d’aujourd’hui.
Vers 9h15, notre journaliste a pu s’approcher du camp.
Il souligne que les policiers contrôlent les personnes présentes dans le camp de manière calme.
Attendez-vous à une expulsion
Actualités rennaises Il a également pu échanger avec Élise Dubuis, Chef de cabinet du gouverneur de l’Ile-et-Villane, présent au camp Gayol mercredi matin.

Lorsqu’on lui demande pourquoi cette intervention a eu lieu avant la fin du délai fixé par le tribunal administratif, elle répond : « Un abri attendu par les conservateurs Pour que les gens aient le temps d’évacuer d’ici vendredi.
Il ne s’agit pas d’une évacuation forcée mercredi matin mais d’un processus visant à proposer un hébergement et un abri d’urgence en surveillant toutes les familles pour connaître leurs droits.
Ce processus se fait dans calme.
«C’est la première fois qu’A Processus pacifique Cela se fait d’une manière Collectif avec la ville. Elle a conclu que l’État anticipait cette intervention.
Pourquoi toutes les familles ne seront-elles pas relogées ce mercredi ?
Entre 135 et 180 personnes y vivaient
Entre 135 personnes vivent dans le camp, selon les agences de l’État, et 187 personnes, selon les organisations communes de soutien aux exilés. « Conditions très risquées La ville a constaté, dans un communiqué du mercredi 6 septembre, que la situation sanitaire du camp se dégradait au fil des jours, malgré la mobilisation des associations de solidarité avec le soutien des services municipaux, dans laquelle elle a annoncé le dépôt d’un décision urgente de fermer le camp. .
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